Résumé

Dans cette métropole en ébullition, un regard ambitieux embrasse l’histoire en préservant l’héritage des lieux. La première cité-jardin genevoise a dévoilé son potentiel, et dans cette symphonie architecturale, une alternative à la tabula rasa se présente. Une densification qui célèbre l’existant, avec harmonie et logique urbaine, qui répond aux besoins actuels en logements ainsi qu’à une mixité programmatique en intégrant des espaces publics et commerciaux. Une métamorphose s’opère dans les espaces longs et étroits des parcelles étirées, habitats et espaces ouverts se muent en lieux de rencontres où se tissent des liens, dépassant l’individualité. Un souffle de changement, une invitation à réinventer les modes de vie. La cité-jardin se déploie avec une nouvelle dimension émergente qui s'élève vers les cieux faisant face à une forêt majestueuse. L'implantation des édifices se développe en symbiose avec les espaces verts, trois cours, de nature différente, telles des toiles vivantes se dévoilent, chacune racontant une histoire unique. La conservation des vestiges du passé, témoins silencieux du temps qui s'est écoulé, rappelle l’importance de préserver notre héritage architectural. Une pépinière prend racine, symbole qui intègre harmonieusement les préoccupations climatiques dans le tissu urbain. L’empreinte de la campagne se mêle à l’élan urbain, rappelant aux âmes voyageuses que la nature a toujours été complice de notre histoire. Ainsi s’élève une réflexion vers une densification respectueuse, une ode à l’histoire, un hommage à l’âme des lieux, à l’intelligence des générations passées, tout en insufflant une vision nouvelle.

Détails