Abstract

Devenu centrale dans la théorie comme dans la pratique, le modèle du TOD (Transit-Oriented Development) soutient une relation linéaire et normative entre densification des périmètres autour des gares, augmentation de l’accessibilité par le transport en commun et mobilité durable. Or, cette articulation est inopérante dans les espaces hybride, caractérisés par une faible densité bâtie, des usages du sol multiples et des mobilités dispersées. Partant de la notion d’accessibilité différentielle, cette contribution explore les opportunités propres aux morphologies ruro-urbaines capables d’impacter l’accessibilité vers la gare, notamment grâce aux réseaux de mobilités lentes et au l’espaces ouverts.

Details